Malgré une longue liste d’avantages environnementaux et économiques, les toits verts ne percent pas beaucoup au Québec. Du moins, pas autant qu’ils le pourraient, d’après Nataliia Gerzhova, qui travaille sur un doctorat au département des sciences du bois de l’Université Laval, car les normes de sécurité incendie seraient inutilement sévères chez nous.